| 15 Juillet 2014
La société située en région Lilloise, et qui s'est récemment vue décerner le label Origine France Garantie pour ses e-liquides, vient de lancer une grande étude afin d'évaluer l'impact sanitaire potentiel de ses cigarettes électroniques. Réalisées par un laboratoire de recherche universitaire lillois spécialisé dans l'étude de l'impact de l'environnement chimique sur la santé humaine, cette étude consiste en une série d'analyses et de tests in-vitro qui permettront de rechercher et quantifier des substances potentiellement toxiques dans les e-liquides Nhoss, ainsi que l'impact sur des cellules pulmonaires humaines lors d'exposition à la vapeur de e-cigarette.[1]. Une telle démarche peut surprendre de la part d'une entreprise dont la réussite dans le secteur n'est plus à prouver[2]. Pourtant, Nhoss répond ainsi à la grande problématique de la cigarette électronique, « vrai et grand enjeu de santé publique », comme l'a qualifiée le Docteur Armando Peruga, responsable du projet Un Monde Sans Tabac, pour l'OMS. Il suffit d'observer le retentissement autour de l'e-cigarette, le 31 mai dernier, lors de la journée mondiale sans tabac. Cette journée d'action a en effet eu un écho particulier pour les vapoteurs. Face à ses adeptes qui sont toujours plus nombreux, les pouvoirs publics et les grandes organisations sont en difficulté pour émettre un avis tranché sur l'e-cigarette. Tel le Haut Conseil de Santé Publique qui a commandé la mise en place officielle d'études visant à déterminer le pourcentage de vapoteurs sevrés du tabac grâce à la cigarette électronique et mesurer les risques d'addiction. L'OMS, quant à elle, reste dans le flou, reconnaissant le manque de recul et d'études scientifiques sur le sujet. Dans un tel contexte, l'action menée par Nhoss est plus que pertinente. Son engagement sanitaire envers ses produits traduit ses préoccupations que sont leur qualité et la satisfaction de ses consommateurs. Et la marque française d'agir également du côté de ses partenaires buralistes, en leur proposant une formation pour être en mesure de répondre au questionnement des consommateurs sur les e-liquides. Le créneau de Nhoss n'étant pas seulement de vendre en masse, mais de vendre responsable et informé. [1] A propos de l'étude Les objectifs sont de : - Rechercher et quantifier des substances potentiellement toxiques dans le e-liquide et dans la vapeur produite à partir de ces e-liquides. - Réaliser des tests de toxicité sur des cultures de cellules pulmonaires humaines exposées à la vapeur d'e-cigarette. Pour cela des moyens techniques et scientifiques de pointe sont mis à disposition des chercheurs. Nhoss alloue un budget de plusieurs centaines de milliers d'Euros à ce projet qui durera entre 12 et 18 mois. Nhoss se positionne en acteur responsable du secteur en recherchant à apporter des réponses scientifiques aux interrogations des consommateurs. [2] Nhoss, la conquête du marché de l'e-cigarette. Présente dans 8000 points de vente sur le territoire national, plus de 2 millions de produits estampillés Nhoss se sont vendus depuis la création de la marque, en 2010. En 3 ans, Nhoss a vu passer son chiffre d'affaires de 150 000 Euros à plus de 10 Millions d'Euros et se retrouve aujourd'hui premier leader du marché français de la cigarette électronique. Nhoss déploie à présent sa stratégie et son savoir-faire made in France vers l'Espagne. Le Portugal, l'Italie et l'Europe du Nord sont les prochains objectifs d'internationalisation.
A l'image du marché français de la cigarette électronique qui a triplé en un an, la marque Nhoss poursuit le développement de son activité autour de ce produit au cœur de toutes les préoccupations.
