altDe nos jours, le transport sanitaire représente environ 3 % des dépenses de santé.

Le covoiturage n’atteint que 13 % du montant de la dépense du transport sanitaire. Seulement un tiers des patients l’utilise.

Or il s’avère que le tarif moyen pour le transport d’un patient en taxi coûte 40 €, le VSL 32 €, alors que le transport covoituré ne s’élève qu’à 19 €.

Cette pratique est à privilégier pour les pathologies identifiées : les traitements par hémodialyse, la rééducation fonctionnelle, la chimiothérapie et la radiothérapie.

Toutefois, ce fonctionnement demande une organisation commune à l’ensemble de la filière de soins. Depuis déjà de nombreuses années, la FNTS a mené avec les Fédérations professionnelles FNAA (Fédération Nationale des Artisans Ambulanciers), FNAP (Fédération nationale des ambulanciers privés), en partenariat avec certains hôpitaux, et grâce à l’appui des agences régionales de santé, des expérimentations qui ont fait la preuve de leur efficience et qui doivent maintenant être généralisées. Le covoiturage en fait partie. Son expérimentation démontre qu’accompagné d’une coordination pertinente entre les différents acteurs concernés, le taux de transport sanitaire en covoiturage peut atteindre 60 %.

« Ce mode de transport permettrait à l’assurance maladie d’économiser 500 millions d’euros par an » affirme Thierry Schifano, Président de la FNTS.


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