altLe Syndicat de l’Industrie du Diagnostic In vitro (SIDIV) est en train de réussir sa politique de communication, pour enfin se faire naturellement accepter en tant qu’entité singulière reconnue comme telle par les autorités de tutelles. Pour cela il fallait que le syndicat se débarrasse de l’étiquette Dispositif Médical qui l’empêchait d’être reconnu, compris et pris en considération, en tant qu’entité majeure autonome, du monde de la santé en France.

Le SIDIV a été créé en 1977 (anciennement SFRL), avec la volonté de représenter l’industrie du diagnostic in vitro, branche incontournable du monde de la santé s’il en est, le diagnostic in vitro peut être considéré, et à raisons, comme le socle de 80% des décisions médicales reposant sur les diagnostics de biologie proposés par les laboratoires d’analyses en France.

L’industrie du diagnostic in vitro est donc le segment indispensable entre le médecin et son patient. En effet, sans compte rendu d’analyses, impossible de confirmer un diagnostic médical, difficile de prescrire les bons médicaments, mais aussi, impossible de suivre l’évolution jusqu’à la guérison d’un grand nombre de pathologies.

Porté ces dernières années par son Président Yves Quinchard, et sa Secrétaire Générale Elisabeth Campagne, le SIDIV regroupe 80 entreprises, dont certaines de taille mondiale, qui représentent plus de 95% du chiffre d’affaire du secteur.

Le SIDIV à un grand projet, celui d’unir les trois congrès nationaux de l’industrie, ainsi que les régionaux, dans une « grande messe » nationale, réunissant tous les courants de la profession.

Monsieur Yves Quinchard nous a détaillé tous les axes que le SIDIV entend conduire, ainsi que sa vision globale sur ce secteur de l’industrie et sur la profession de biologiste.

Interview du Président Yves Quinchard :

Interview de Yves Quinchard

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