altSeattle, le 7 mai 2013 au congrès de l’ARVO, le Pr Laurent Kodjikian a présenté les résultats de l’étude française GEFAL* qui compare le bevacizumab au ranibizumab dans le traitement de la DMLA exsudative.

Novartis reconnaît la qualité méthodologique de cette étude qui se distingue des précédentes études internationales (CATT, IVAN et MANTA) ; et souligne la rigueur de la recherche clinique française notamment illustrée par la collaboration de 38 centres publics et privés.

Avec 501 patients, GEFAL, comme les précédentes études, n’a pas été conçue ni dimensionnée pour mettre en évidence une différence éventuelle d’effets secondaires entre les deux molécules.
De plus, avec un flacon de bevacizumabpar patient dans le cadre de l’étude versus un flacon pour plusieurs patients comme il est pratiqué à l’étranger, les conditions dans lesquelles cette étude a été menée minimisent le risque d’infection de l’œil (endophtalmie).

Enfin, des données regroupant différentes études disponibles (CATT, IVAN, MANTA, GEFAL) ont également été présentées à l’ARVO. Celles-ci confirment un risque plus important d’évènements indésirables graves sous bevacizumab par rapport au ranibizumab.

Seules des études sur de plus amples populations et à plus long terme pourraient écarter le doute qui pèse sur les effets secondaires du bevacizumab injecté dans l’œil – effets qui pourraient être majorés en pratique courante au regard de l’absence de présentation adaptée pour l’œil.

A ce jour, Novartis considère qu’il est impossible de répondre à la question de la sécurité sanitaire des patients atteints de DMLA exsudative qui se verraient injecter du bevacizumabdans l’œil.


*Groupe d’Evaluation Français Avastin® versus Lucentis®.

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