altUn pas de plus vient d’être franchi dans la compréhension des mécanismes du contrôle du VIH permettant à certains individus de maîtriser l’infection sans traitement.

Une équipe de recherche menée par le Dr Asier Sáez-Cirión (Institut Pasteur) et le Dr Bruno Vaslin (IDMIT, CEA-Inserm-Université Paris Saclay) a observé pour la première fois que l’activité antivirale des lymphocytes T CD8+ de macaques « contrôleurs » infectés par le virus de l’immunodéficience simienne (équivalent du VIH pour les primates non humains), d’abord limitée dans les deux premières semaines de l’infection, s’accroît ensuite. Une explication serait le développement précoce de lymphocytes T CD8+ mémoires très efficaces.

Cette étude, soutenue par l’ANRS, la fondation MSDAvenir et le programme Investissement d’Avenir de l’ANR, est parue dans la revue Cell Reports le 22 septembre 2020.

Ajouter un Commentaire


Code de sécurité
Rafraîchir

Vitrines Sociétés

Voir toutes les vitrines