| 22 Juin 2020
 Pour  la première fois, une équipe de recherche a mis en évidence un  mécanisme génétique dépendant du sexe dans la réponse immunitaire innée  qui a lieu lors de la phase aiguë de l’infection par le VIH-1.
Pour  la première fois, une équipe de recherche a mis en évidence un  mécanisme génétique dépendant du sexe dans la réponse immunitaire innée  qui a lieu lors de la phase aiguë de l’infection par le VIH-1.
Ces travaux, publiés dans JCI Insight le 18 juin et soutenus par l’ANRS, viennent éclairer d’une façon nouvelle les  différences de charge virale entre les hommes et les femmes dans le  premier stade de l’infection  par le VIH-1, déjà observées précédemment. Cette publication contribue à  une meilleure compréhension des mécanismes de l’infection par le VIH-1,  qui reste un problème de santé mondiale avec 1,7 million de personnes  nouvellement infectées en 2018 dans le monde.
Ces travaux ont été  menés par l’équipe de Jean-Charles Guéry (Centre de physiopathologie de  Toulouse Purpan, Université de Toulouse III-Paul Sabatier, Inserm,  CNRS), en collaboration avec Laurence Meyer (Centre de recherche en  épidémiologie et santé des populations, Inserm, Université  Paris-Saclay), Pierre Delobel (Service des maladies infectieuses et  tropicales, CHU de Toulouse, Inserm) et Michaela Müller-Trutwin (Unité  HIV, inflammation et persistance, Institut Pasteur).









