alt« Ce que nous mangeons est important pour notre santé mais aussi pour la planète. Pourtant, seuls quelques gouvernements (Brésil, Allemagne, Suède, Qatar) ont montré l’exemple en formulant des recommandations en faveur d’une alimentation avantageuse capable de faire face à deux des défis les plus pressants de notre époque, à savoir garantir une bonne alimentation pour tous et lutter contre le changement climatique » conclut la FAO dans un rapport conjoint avec l’Université d’Oxford [1] publié en juin 2016.

En France, constate Pierre Feillet, «Â lensemble des activités qui précèdent l’arrivée des aliments dans nos assiettes, « des semences à la cuisine », est responsable de 20 à 25 % des émissions des gaz à effet de serre, denviron 10 % des dépenses énergétiques (en troisième position derrière le logement et le transport), de plus de la moitdes émissions de gaz acidifiants (en première position) et de près du quart des cas où la qualité de l’eau est insuffisante ».2 C’est dire à quel point nos habitudes alimentaires peuvent peser sur les bilans environnementaux de notre pays.

Peut-on  se  fier  à  l’affichage  environnemental ?  Doit-on privilégier  les  circuits  courts et de proximité ?  Faut-il  consommer  moins  de  viandes ?  Que  penser  des poissons  d’élevage ?  Se  nourrir  avec  des  aliments  biologiques  est-il  bénéfique  pour  la planète ? Comment gaspiller moins de nourriture ? Quels modes de cuisson privilégier ?

Autant de questions auxquelles Pierre Feillet, spécialiste de l’impact de l’évolution des sciences et des techniques sur l’alimentation, apporte des éléments de réponse, dans un ouvrage présenté en avant-première. En abordant, de manière claire et documentée, dix questions essentielles pour l’homme et l’environnement,  Pierre Feillet livre les clés du « bien se nourrir » tout en réduisant l’impact de nos repas sur l’environnement, et plus pcisément le changement climatique.

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