L’enfant sans visage, d’Anne Révah, vient de paraître au Mercure de France.

Récit pudique et sensible d’une grossesse inattendue, et rapidement impossible, le jour où la narratrice apprend que son fœtus est porteur de deux maladies graves, la toxoplasmose et le cytomégalovirus.

Ecriture distanciée, très simple et belle, qui permet d’entrer dans le récit sans pathos ni sensiblerie. Dans la lignée d’Emmanuèle Bernheim.

Anne Révah, chef d’un service de pédo-psychiatrie en banlieue parisienne, offre aussi un récit social aussi, qui interroge le milieu médical.

Ajouter un Commentaire


Code de sécurité
Rafraîchir

Vitrines Sociétés

Voir toutes les vitrines