Cela suffit : les hôpitaux ont besoin de médecins, or compte tenu des conditions actuelles d’exercice, ceux-ci les fuient…

La gynécologie obstétrique est particulièrement concernée avec 25% des postes vacants, le recours massif à des intérimaires et des maternités fragilisées par des équipes incomplètes et instables : le SYNGOF dénonce une nouvelle fois ces risques !

IL Y A URGENCE

A ce jour, le SEGUR se révèle être un simple moyen de contenir l’exaspération des praticiens hospitaliers jusqu’à l’été… aboutissant fin juin à l’absence de toute avancée significative et concrète.

Pour répondre aux besoins réels de nos concitoyens et apporter les moyens humains et matériels nécessaires à la sécurité de la naissance, comme de l’ensemble des soins, une réelle négociation plénière doit reprendre et aboutir sans délai.

LE SYNGOF appelle tous les gynécologues et obstétriciens hospitaliers à expliquer aux usagers les enjeux de santé de cette mobilisation et à participer à la grève du 30 juin.

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