Une équipe de chercheurs de l’Institut de biologie Paris-Seine (IBPS - Sorbonne Université/CNRS) dirigée par Rachel Sherrard, professeure à Sorbonne Université en collaboration avec l’Université d’Australie-Occidentale, le National Institute of Mental Health du Maryland et l’Institut de la Longévité (hôpital Charles Foix - AP-HP) a étudié le rôle de la stimulation magnétique de faible intensité dans le mécanisme de réparation du cerveau. Publiés dans Science Advances, leurs travaux mettent pour la première fois en évidence le rôle clé d’une protéine impliquée dans ce mécanisme de réparation : le cryptochrome.

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