| 29 Août 2014
En réponse aux recommandations de l'OMS préconisant l'interdiction  du vapotage dans les lieux publics et de la vente aux mineurs,  l'Association Indépendante Des Utilisateurs de Cigarette Electronique  dénonce un document élaboré dans le mépris complet de l'état de la  science au sujet des vaporisateurs personnels et une position servant  les stricts intérêts des industries oligopolistiques, notamment celles  du tabac et de la pharmacie. 

 L’OMS,  dans le mépris le plus complet de l'état de la science au sujet des  vaporisateurs personnels, improprement qualifiés de "cigarettes"  électroniques, souhaiterait interdire largement la vente et l’usage de  cette alternative dont on sait désormais qu'elle est infiniment moins  nocive que le tabac fumé. Et ce alors même qu'elle reconnaît qu'elle  pourrait avoir des effets bénéfiques.
 
 Ses conclusions, présentées ici se  basent sur des suppositions scientifiquement infondées : le VP POURRAIT  être dangereux, SERAIT une passerelle vers le tabagisme, POURRAIT  inciter les jeunes à fumer.
 
 La  nicotine, encore une fois diabolisée, serait 'une grave menace' selon  les médias, pour les femmes enceintes, les enfants, les adolescents, les  foetus et même les femmes en âge de procréer.
 
 Cette même nicotine présente dans les substituts proposés par l'industrie pharmaceutique présente-t-elle les mêmes dangers ?
 
 Cette  attitude, que d’aucuns jugent criminelle, est quoi qu'il en soit  particulièrement irresponsable dans la mesure ou elle pousse les fumeurs  de tabac à le rester, et les vapoteurs à se priver de leur succédané.  Elle ne sert en rien les intérêts des citoyens du monde. Au contraire,  elle poussera au mieux à un recours aux ersatz de la pharmacopée  industrielle dont tout le monde connaît les piètres résultats depuis des  décennies, et au pire à la consommation de tabac fumé.
 
 Poussé à l'extrême par un dogmatisme dont les motivations ne changent  rien au final, le principe de précaution peut devenir meurtrier. Et en  la matière le conditionnel n'est pas de mise : en campant sur des  positions aussi radicales, l'OMS contribuera de longues années encore à  alimenter l'hécatombe provoquée par la cigarette de tabac. Est-ce là sa  vocation ?
 
 L’Aiduce  dénonce fermement cette position de l’OMS, qui ne sert que les intérêts  des industries oligopolistiques en place : tabac et pharmacie au  premier chef. L’Aiduce invite tous les citoyens du monde, fumeurs,  non-fumeurs, à faire connaître leurs justes récriminations devant  l’action rien moins qu'absurde et inconséquente de l’Organisation  Mondiale de la Santé.
 
 La santé des citoyens leur appartient.
 
 Halte à la désinformation : http://www.aiduce.fr/contrer-desinformation-laiduce-propose-outil/