altAlors que le malaise médical est très bien cerné depuis des années, le «Ségur de la Santé» ne saurait être une énième concertation sans mandat de négociation…

Le manque d’attractivité des carrières hospitalières touche la gynécologie obstétrique, 25% des postes étant vacants. Les raisons sont connues depuis de nombreuses années :

Les praticiens de terrain que nous sommes, chaque jour au service des usagers, n’en peuvent plus d’éternelles discussions sans issue, faute de réelle volonté et surtout de moyens conséquents de NÉGOCIATION.

Le SYNGOF souligne qu’il y a URGENCE à répondre aux demandes claires des Gynécologies Obstétriciens hospitaliers et de leurs intersyndicales Avenir Hospitalier et Action Praticien Hôpital concernant l’organisation des soins et la juste reconnaissance de leur exercice.

A défaut d’avancées significatives et rapides, la mobilisation de toute notre profession serait légitime et nécessaire.